- Tantale, par Emma et Lina
- Ixion, par Tom, JB et Valentin
- Sisyphe, par Manon et Mikaïl
1. L’INFINITIF
L’infinitif est la forme du verbe non conjuguée.
Il est donné dans les temps primitifs, en troisième position.
ex: Amo, as, are, avi, atum: aimer => l’infinitif est « amare »
=> Exercice sur l’infinitif à faire ici.
2. LES 5 TYPES DE CONJUGAISONS
Ce sont les temps primitifs du verbe qui nous indiquent à quelle conjugaison il appartient.
1ère conjugaison => verbes en o, as, are
2ème conjugaison => verbes en eo, es, ere
3ème conjugaison => verbes en o, is, ere
3ème mixte => verbes en io, is, ere
4ème conjugaison => verbes en io, is, ire
=> Exercice pour déterminer le type de conjugaison d’un verbe, à faire ici.
3. LE RADICAL
Savoir trouver le radical d’un verbe est primordial pour pouvoir conjuguer le verbe à tous les temps. Le radical d’un mot, c’est la partie du mot qui ne change pas, qui reste la même.
Pour trouver le radical d’un verbe, il faut déjà se demander à quelle conjugaison appartient un verbe. Ensuite, on enlève -RE ou -ERE à son infinitif.
=> Exercice pour trouver le radical d’un verbe, à faire ici.
4. Conjuguer au présent
Pour conjuguer au présent:
* je prends le radical du verbe
* pour les verbes de la 3ème et 3ème mixte, je n’oublie pas la voyelle de liaison quand elle est nécessaire.
* je lui ajoute les désinences personnelles: -o/m – s -t -mus- tis -nt
=> Exercice de conjugaison au présent, à faire ici.
Présentation par Zoé et Marion.
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Présentation par Mélanie et Claire.
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Prolongements: Le travail des élèves de seconde du lycée Aragon autour de Cléopâtre.
Présentation par Irenn, Lucie, Claire et Esther.
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Comme vous le savez tous, la période des chocolats, confiseries et autres est bientôt arrivée ! En effet, Noël et le jour de l’an arrivent à grands pas ! Mais depuis quand exactement mange t-on des bonbons ?
Pour fabriquer un bonbon, il faut obligatoirement du sucre comme matière première. Dans l’Antiquité, on utilise du miel ou du sucre de roseau . Le sucre de canne n’est importé en Europe qu’à partir du Moyen-Age. Le sucre de betterave n’est exploité quant à lui qu’à partir du XIX°siècle.
Les premières confiseries se présentent sous forme de fruits, comme les dattes ou les coins, confits dans du miel et apparaissent dans l’Antiquité. En France, les débuts de la confiserie sont lents car le sucre est très cher et on se le procure uniquement chez l’apothicaire : il est utilisé comme médicament. Les fruits confits, aromatisés et épicés sont généralement servis à la fin des repas. Et sont un moyen de galanterie auprès des dames.
Au XVI° siècle, le sucre fait une entrée fracassante sur les tables françaises. Les palais s’habituant peu à peu au gout sucré, les bonbons deviennent très vite indispensables. Les confiseurs font d’ailleurs toujours preuve d’imagination en inventant de nouveaux goûts qui font leur apparition sur les marchés. Comme le nougat qui devient la spécialité de Montélimar, le calisson celle d’Aix …
Jusqu’à la fin du XVIII° siècle, les bonbons sont réservés aux plus riches. A partir du début du XIX °siècle, les sucreries deviennent accessibles à tous.
Les bonbons mangés autrefois sont donc bien différents des chewing-gum, bonbons acidulés, caramels et autres sucreries consommés aujourd’hui.
Oracle énigmatique et en acrostiche des élèves latinistes de 4ème qui, le temps d’une séance, se sont pris pour la sibylle de Cumes!
Tout sera sombre
Et tout sera Mal
Nul ne pourra y échapper
En d’autres termes,
Bientôt, et très bientôt,
Rien n’existera plus
Et ce sera la fin du monde
Sans que Jupiter ne nous sauve.
(Emma)
En pleine étude sur les représentations divines, les superstitions et les apparitions de l’au-delà, les 4ème ont croisé un curieux personnage: la Sibylle et ses fameux livres sibyllins…
Anecdote sur les livres Sybillins et sur le roi Tarquin le Superbe. Voici ce que nous lisons dans les annales anciennes au sujet des livres Sibyllins. Une vieille femme étrangère et inconnue vint trouver le roi Tarquin le Superbe. Elle portait neuf livres qui renfermaient, disait-elle, des oracles divins; elle offrait de les vendre. Tarquin s’informant du prix, elle en demanda une somme si exorbitante, que le roi se moqua de l’étrangère et pensa que l’âge la faisait déraisonner. Alors elle apporte devant le roi un brasier allumé, brûle trois de ses livres, et demande à Tarquin s’il veut acheter les six autres au même prix. Tarquin se met à rire de plus belle et dit que cette vieille radote sans aucun doute. L’inconnue jette de nouveau trois autres livres dans le brasier, et, avec le même calme, demande au roi s’il veut les trois derniers au même prix. Tarquin devient plus sérieux et commence à réfléchir ; il comprend qu’il ne faut pas dédaigner une proposition faite avec tant de fermeté et d’insistance, et donne pour les trois derniers livres la somme demandée pour tous. Cette femme sort alors du palais de Tarquin, et jamais on ne la revit depuis ce temps. Les trois livres, renfermés dans le sanctuaire d’un temple, furent appelés Sibyllins. Ce sont ces livres que consultent les quindécemvirs comme un oracle, lorsqu’on veut interroger les dieux immortels sur les affaires de l’État. (Aulu-Gelle, Nuits Attiques, I)
Clique sur l’image pour en savoir plus sur la Sibylle
grâce à une présentation animée
(navigue avec les flèches droite-gauche)
Activité 1: Je télécharge la fiche civilisation ici, je l’ouvre et l’enregistre dans le dossier libre>latin en mettant mon prénom en nom de fichier. Je la complète en me rendant sur Internet, et plus particulièrement sur le site génialissime de Latine Loquere.
Activité 2: Je cherche un schéma qui résume les étapes et la hiérarchie du cursus honorum, et je l’intègre dans ma page de traitement de texte, en mentionnant ma source (le site où je l’ai trouvé). Quand j’ai fini, je demande à imprimer mon travail.
Activité 3: Maintenant que je suis incollable sur le cursus honorum, je peux me détendre en faisant ces mots-croisés qui lui sont dédiés!
Les 3ème latinistes ont travaillé sur un vaste projet en interdisciplinarité avec le cours de Physique-Chimie de Madame Moulin.
Il s’agissait d’étudier le tableau de classification des éléments de Mendeleïev, et de s’intéresser plus particulièrement aux éléments dont les noms, les symboles ou les couleurs avaient un rapport avec les langues et cultures de l’Antiquité.
Ainsi, pour chaque élément dont le nom avait un rapport avec le latin ou le grec, ils ont créé des diaporamas qui les expliquent et permettent de mieux les comprendre et les retenir.
Partez donc à la découverte de ces éléments qui n’empruntent pas leurs noms farfelus au hasard, et venez découvrir un tableau qui est aussi celui de l’étymologie, de la mythologie, des corps célestes…
Comment naviguer dans cette grande carte cliquable?
Sources internet ayant permis aux élèves de faire leurs recherches:
Bravo et merci aux élèves pour leur travail appliqué et motivé, à Mme Moulin (professeur de physique-chimie au Collège de Vinci) pour l’idée de ce beau projet et ses corrections d’experte en chimie, à Raphaël Hérédia (documentaliste au collège de Champagney) pour ses conseils d’expert en informatique, et à Bernard Maréchal (professeur de Lettres Classiques à Lons-le-Saunier) pour sa relecture attentive, ses conseils et ses corrections.