Le site d’Augusta Raurica vous a plu? Revistez-le sans modération…
Cliquez sur « Start prezi », attendez que la barre bleue ait fini de charger et naviguer avec les flèches droite-gauche de votre clavier…
Bonne visite!
Le site d’Augusta Raurica vous a plu? Revistez-le sans modération…
Cliquez sur « Start prezi », attendez que la barre bleue ait fini de charger et naviguer avec les flèches droite-gauche de votre clavier…
Bonne visite!
Comme vous le savez tous, la période des chocolats, confiseries et autres est bientôt arrivée ! En effet, Noël et le jour de l’an arrivent à grands pas ! Mais depuis quand exactement mange t-on des bonbons ?
Pour fabriquer un bonbon, il faut obligatoirement du sucre comme matière première. Dans l’Antiquité, on utilise du miel ou du sucre de roseau . Le sucre de canne n’est importé en Europe qu’à partir du Moyen-Age. Le sucre de betterave n’est exploité quant à lui qu’à partir du XIX°siècle.
Les premières confiseries se présentent sous forme de fruits, comme les dattes ou les coins, confits dans du miel et apparaissent dans l’Antiquité. En France, les débuts de la confiserie sont lents car le sucre est très cher et on se le procure uniquement chez l’apothicaire : il est utilisé comme médicament. Les fruits confits, aromatisés et épicés sont généralement servis à la fin des repas. Et sont un moyen de galanterie auprès des dames.
Au XVI° siècle, le sucre fait une entrée fracassante sur les tables françaises. Les palais s’habituant peu à peu au gout sucré, les bonbons deviennent très vite indispensables. Les confiseurs font d’ailleurs toujours preuve d’imagination en inventant de nouveaux goûts qui font leur apparition sur les marchés. Comme le nougat qui devient la spécialité de Montélimar, le calisson celle d’Aix …
Jusqu’à la fin du XVIII° siècle, les bonbons sont réservés aux plus riches. A partir du début du XIX °siècle, les sucreries deviennent accessibles à tous.
Les bonbons mangés autrefois sont donc bien différents des chewing-gum, bonbons acidulés, caramels et autres sucreries consommés aujourd’hui.
Aujourd’hui, plus de cinq cents nouveaux parfums sont crées chaque année, il y en a pour tous les goûts, tous les âges et tous les budgets; Il suffit de se rendre dans une boutique spécialisée, de vaporiser un peu de parfum sur une languette de carton et de choisir celui que l’on préfère ! Facile non ? Mais à votre avis, depuis quand se parfume- t-on ? Le parfum a-t-il toujours été acessible à tous ? Si vous brûlez de connaître les réponses à toutes ces questions suivez moi, pour une petite promenade dans l’histoire du parfum !
Les premiers documents mentionnant l’usage de substances parfumées on été decouverts en Mésopotamie et datent du III ème millénaire avant J-C. En effet, les Egyptiens brûlaient des matières odorantes dont les fumées montaient jusqu’aux narines des dieux. Par cette offrande, ils espéraient s’attirer les bonnes grâces. Le parfum est donc essentiellemant utilisé pour honorer les dieux, bien que les Egyptiens fabriquent aussi des huiles parfumées pour le corps et les cheveux.
Citation : » Que le plus pur encens fume sur l’autel pour gagner les faveurs de vos dieux immortels » Hésiode , Thégonie.
Chez les Grecs puis chez les Romains, on continue à honorer les dieux de bonnes fumées odorantes mais, parallélement, l’usage profane du parfum se répand. On l’ utilise natamment à des fins médicales et d’hygiène corporelle. Constatant que ces produit attirent de plus en plus de monde, les Grecs se lancent dans la fabrication de toutes sortes de flacons.
Au début du Moyen-âge, lorsqu’elles ne sont pas consommées sous forme d’encens par l »église chrétienne, les substances parfumées sont surtout utilisées pour leurs vertus thérapeutiques : elles sont transformées en medicaments. A partir du XI ème siècle, les Européens découvrent des odeurs que leurs narines n’avaient jamais humées auparavant, des odeurs venues d’Orient, rapportées par les soldats de retour de croisades. Le parfum revient au gout du jour : ces nouvelles senteurs sont déclinées sous de multiples formes (poudre, lotions, sirops, pates parfumées ) et employées comme soins pour le corps ou aromates pour la cuisine. La découverte de la distillation au XII ème siècle permet la diffusion des eaux de parfums, que l’on verse dans l’eau du bain. Pour les plus riches, le parfum est un signe de distinction et de coquetterie mais il est aussi considéré comme un moyen de lutter contre les maladies, et notamment contre la peste, associée à la puanteur.
Contrairemant à ce que l’on croit ce n’est pas au Moyen-Age que l’hygiène laisse le plus à désirer mais à partir du XVI ème siècle, lorsque les medecins commence à déconseiller à la population de prendre des bains. Il est recommandé de se frotter la peau avec des vinaigres et des lotions, sans se mouiller. Résultat : une puanteur généralisée s’installe et le recours aux parfums devient indispensable pour masquer les mauvaises odeurs.
A la cour du roi de France, les gants parfumés ( cousus de petits sachets remplis de fleurs ) font fureur puis à partir du XVII ème siècle, tout le monde se met à porter des perruques inondées de poudres parfumées. Sous le règne de Louis XIV, le parfum est considéré comme une parure, et sous son successeur Louis XV, la cour de Versailles est surnommée » la cour parfumée » car il faut y paraître chaque jour avec un nouveau parfum différent. Au milieu du XVIII ème siècle, avec l’influence de ce qu’on appelle la » révolution hygiéniste anglaise » les Français recommençent à se laver à l’eau. Désormais le parfum n’est plus un agent anti-odeurs, il devient un art.
Dès la deuxième moitié du XIX ème siècle , une nouveauté apparait dans le monde du parfum : grâce au progrès de la chimie, certains produits naturels sont remplacés par des produits de synthèse. C’est à partir de ce moment -là que l’histoire de la parfumerie commence à se meler à celle de l’industrie. C’est avec François Coty (1874-1934), considéré comme le père de la parfumerie moderne, que le parfum se démocratise réellement. Grâce à l’industrialisation et aux produits de synthèse, Coty vise toutes les classes sociales en proposant des parfums abordables qui rencontrent un grand succès.
Le parfum est donc passé d’une utilisation religieuse à une utilisation normale et habituelle en passant par le fonction « ‘anti-odeurs ».
Sources : Histoire Junior N°9.
Durant une séquence sur la vie quotidienne des Romains, nous avons abordé la thème de l’alimentation dans l’antiquité. Les élèves ont fait différentes recherches sur ce thème…
L’agriculture à Rome
(Aleksandar et Evgeny)
Les Romains commencent à pratiquer l agriculture dès leur plus jeune âge. Les Romains cultivaient plusieurs aliments comme le blé, des légumes (des haricots, des fèves et des olives) …Les Romains utilisaient plusieurs sorte de matériaux comme une charrue, une moissonneuse, des petits matériaux (une hache,une pioche…)
Les métiers liés à l’alimentation.
(Eva, Adèle et Anaël)
Pistor ( Boulanger )
Le pain était et reste un aliment aimé de tous, essentiel lors de n’importe quel repas.Les fours utilisés étaient en brique et la pâte était déposée près des flammes grâce à une longue spatule en bois. Le pain était bon marché, donc l’élément principal des repas.
Apothecarius ( Épicier )
Aucun cuisinier ne peut se passer d’épices dans ses plats : elles leurs donnent du goût, elles apportent de la couleur, elles s’adaptent facilement aux goûts de chacun, elles changent de texture selon les ingrédients qui lui sont associés ( mousse, liquide, émulsion… )
Lanius ( Boucher )
Certaines viandes se mangent crues, d’autres cuites sous différentes formes. Elles peuvent être épicées et peuvent être servies en sauce.
Cetarius ( Poissonnier )
Il était difficile pour les grecs de conserver plus d’un jour le poisson du point de vue climatique ( très chaud ) ce qui les amenaient à devoir les consommer très rapidement.
Figuli ( Potier )
La poterie est un art dont toutes les femmes Grecques avaient besoin dans leur foyer pour transporter l’eau, transporter les aliments, décorer la maison.
Le commerce des aliments
(Eva, Irenn et Esther)
Tout d’abord, à l’Agora ( en Grèce), les paysans de l’Attique viennent vendre sur l’Agora huile d’olive, fruits et légumes, volailles, gibier et poissons. On y rencontre aussi des marchands au détail de grains, d’ail et de fruits. Rome exporte du vin, de l’huile d’olive vers l’Espagne et la Gaule en particulier. Mais elle importe bien plus: blé, vins grecs. Certaines régions romaines font du commerce entre elles. La capitale importe aussi des épices payées en monnaie d’or et d’argent. En Grèce, le grand commerce s’effectue par la mer. Les bateaux à voiles naviguent seulement le jour, sans jamais perdre les côtes de vue. Le blé et l’orge proviennent d’Égypte, de Sicile et du pont-Euxin. Les Grecs importent aussi du poisson séché..En retour, ils exportent du vin. Sur le forum, on vendait de la volaille, du pain, des peintures, des chaussures, on louait également des chambres pour la nuit, …
La cuisine Romaine était essentiellement composée de céréales et de légumes, l’élément principal était le pain. Ils consommaient de temps en temps de la viande bouillie, en particulier dans les familles riches, et le fromage était fait avec le lait de l’exploitation familiale. Pour masquer le goût des aliments, ils utilisaient beaucoup d’épices, d’assaisonnements et de garum, une sauce à base de poisson macéré dans du sel.
Les aliments sucrés
(Philippine et Marion)
A Rome, les habitants mangeaient principalement des fruits (ex: du raisins, des poires…) Lors des festins, les fruits étaient toujours présents mais on pouvait aussi manger beaucoup de pâtisseries (ex: gâteau à la poire).
En Grèce, les habitants mangeaient des fruits beaucoup plus variés et ils en mangeaient moins que les romains. (ex: les figues, les châtaignes). Ces fruits pouvaient être accompagnés de céréales grillées, et tout simplement de pâtisseries (ex: gâteau au miel, amygdalopita ipirou: gâteau aux amandes,typiques de la Grèce).
Les ustensiles de cuisine
(Pauline et Margaret)
Dans la Rome antique les ustensiles de cuisine étaient à peu près identiques aux nôtres aujourd’hui :
La vaisselle dans l’Antiquité
(Zoé et Aniça)
Pour les Riches Romains, la vaisselle d’argent et d’or orne les tables. De grands plateaux, des coupes sculptées dans des mélanges de métaux ayant pour formes des visages de divinités, animaux et autres …Pour les pauvres, la vaisselle est en terre cuite et de simples pots et plats rouges constituent un ensemble de vulgaires instruments . Petits verres, grands pots servent de vaisselle de table. Le bois était également utilisé pour fabriquer la vaisselle, comme le prouvent les ustensiles trouvés lors des fouilles de la place Jules-Verne à Marseille (voir photographie).
Chez les Grecs, il n’y a pas de distinction sociale, les citoyens mangent dans des plats en terre cuite et boivent dans des verres à tetes d’animaux qu’ils ne pouvaient pas poser avant d’avoir fini de boire le contenu du récipient. Mais pour les soldats de guerre, ils devaient se contenter de petits verres en terre.
Les repas des banquets
(Claire et Lucie)
Un banquet grec est composé de différentes parties : une pour la nourriture, une pour la boisson. La boisson est accompagnée de petites friandises à grignoter.Un banquet romain est composé de viandes, de légumes, de fruits et la boisson la plus courante est le vin ( il peut être parfumé de différentes façons).
Les activités des banquets.
(Adèle et Lou)
Durant l’antiquité, les Grecs avaient plusieurs activités lors des banquets, comme les danses et les musiques, ou encore les jeux.
Danses et musiques:Pour accompagner le repas des Grecs il y avait des joueuses de flûte, des citharistes (joueurs de cithare), des danseuses « esclaves » (parce que les femmes libres étaient interdites de banquet)
Les jeux: Au début du repas, les convives désignaient par un tirage au sort (avec des dés) un roi du banquet; celui-ci fixait le nombre de coupes que les personnes invitées devaient boire. Après le repas les grecs pratiquaient des jeux de sociétés, des devinettes, des charades ou encore des énigmes.
Les différents repas de la journée
( Mélanie et Claire)
L’Apothicaire est l’ancêtre du pharmacien, surtout n’essayez pas d’en chercher un, ce métier n’existe plus ! Mais d’où vient ce métier, quelles étaient les fonctions d’un Apothicaire ?
Aujourd’hui, lorsque tu es malade, le médecin prescrit une liste de médicaments ( une ordonnance ) que l’on présente au pharmacien, qui fournit tout ce qu’il te faut. Mais ce système est très récent, car autrefois, les hommes préhistoriques utilisaient pour se soigner des plantes choisi par un sorcier. A cette époque, le médecine était étroitement liée à la magie.
Les premiers médecins, ceux qui différencient la médecine de la magie, apparaissent dans l’antiquité. Pendant très longtemps, les médecins ont préparé eux-même leurs remèdes, parfois assistés d’un aide que l’on appelle le pigmentarius. Bien vite il apparaît nécessaire de décharger le médecin de ces tâches contraignantes, comme la préparation des médicaments. C’est ainsi qu’apparaît le métier d’apothicaire, mot venant du latin apothecarius, qui signifie boutiquier. Pourquoi ce nom ? Parce que l’apothicaire travaille dans une boutique où il prépare et vend ses médicaments.
En 1258, le roi Louis IX donne un statut aux apothicaires, c’est à dire qu’il définit leur métier. Ils se regroupent en une corporation, sorte d’ association de personnes exerçant le même métier et défendant des droit communs. Il existe deux catégories d’apothicaires: ceux qui vendent les médicaments et ceux qui préparent la liste prescrite pas le médecin.
Au début du XVI ème siècle, les apothicaires sont très bien vus car ils vendent des produit rares et prestigieux . Mais peu à peu, leur image se ternit : ils sont considérés comme des serviteurs des médecins, uniquement bons à vendre des poudres. En 1560, ils sont même de nouveau réunis à la corporations des épiciers, ce qui est pour eux une véritable humiliation ! les choses changent en 1777, lorsque le roi de France Louis XVI sépare définitivement les corporations d’épiciers et d’apothicaires. Le mot apothicaire disparait peu à peu, remplacé par celui de pharmacie, qui vient du grec pharmakon. Depuis, le pharmacien n’est plus considéré comme un épicier mais comme appartenant au corps médical. Si en France on a gardé le nom de pharmacie, dans d’autre pays, il reste des traces de l’apothicaire… En Allemagne, par exemple, sur l’enseigne d’une pharmacie, on pourra lire Apotheke !
La chaussure est un vêtement destiné à protéger et couvrir les pieds. Son nom vient du latin calceus, qui signifie « soulier « .
Dès que les hommes ont commencé à se vêtir, ils ont également cherché à couvrir et à protéger leurs pieds. La plus vieille chaussure découverte à ce jour remonte à 5 500 ans environ. Elle est faite d’un morceau de cuir travaillé pour épouser la forme du pied et fermé grace à un lacet passé dans une vingtaine d’oeillets. Ce type de chaussure se retrouve un peu partout dans l’Europe préhistorique. Dans les pays de climat plus chaud, la sandale fait son apparition, simple semelle de paille ou de bois tréssée attachée par des lanières en feuilles de palmier ou en papyrus. Dans l’antiquité, de nombreux peuples utilisent la sandale qui peut être faite de différent matériaux et prendre différentes formes.
A Rome, le soulier, généralement de cuir noir, couvre le pied et la chevile et s’attache par devant avec une courroie. Sandales et souliers sont plutot réservés aux gens d’un certain niveau social. Les escales n’ont pas le droit de porter de chaussures, ils marchaient donc pieds nus. Dès l’Antiquité, la chaussure devient un accessoire de mode : le cuir des souliers est teint et on le décore de broderies et autres perles.
Le début du Moyen-âge voit apparaitre les bottes et les bottines, en plus des souliers, des sandales et des sabots. La poulaine fait son apparition, soulier au bout pointu dont la taille indique la richesse et l’importance de la personne. La pointe des poulaines peut atteindre jusqu’a 50 cm de long, ce qui les rend très peu pratiques pour marcher, mais que ne ferait-on pas pour être à la mode ! Les poulaines disparaissent à la fin du XV ème siècle. La semelle de dois disparait au profit de la semelle de cuir et les premières chaussures à talons apparaissent; avant, elles n’étaient utilisées que pour l’équitation. Les XVII etXVIII ème siècle voient passer différentes modes notamment à la cour du roi, tandis que le petit peuple continue à porter des sabots ou des souliers simples de gros cuir noir.
Au XX ème siècle, le caoutchouc s’ajoute à la liste des matières utilisées pour confectionner les chaussures et les modèles continuent à se multiplier. La chaussure qui n’est plus un objet de luxe ( mis à part quelque modèles .. ) devient un véritable accessoire de mode.
( d’après histoire et vie junior )
Vous avez l’impression d’être suivi, que quelqu’un vous observe ou vous hante ? Adopter la technique d’Ovide !
Ingrédients : Une poignée de feves noires, une fontaine à eau, une cloche d’airain
Recette :
Si toutes les étapes ont été franchies correctement, vous devriez sentir votre âme allégée !!!…
Diaporama créé par le groupe latiniste de 4ème/3ème à l’issue d’une séance sur la représentation des Enfers dans la Mythologie Greco-Romaine.
La fourchette est un ustensile de table à dents dont on se sert pour piquer les aliments, tout le monde le sait… Mais connaissez-vous son histoire, son origine ?
Elle fait son apparition dans l’antiquité avec les Egyptiens, Grecs et Romains: elle est alors appellée harpago, utilisée pour saisir la viande qui mijote dans les chaudrons, ce modèle de fourchette n’est utilisé que pour la cuisine et non pour le repas.
La forme de cet ustensile que nous connaissons aujourd’hui (mais seulement avec deux dents) n’apparait qu’au milieu du XI ème siècle au mariage de la princesse Théodoras Doukas quand celle-ci l’aurati apporté en Europe. Cette princesse mange alors avec deux petites fourches en or . Mais cette pratique reste extremement rare. Longtemps la fourchette ne sert qu’à maintenir la viande et les fruits pour les couper ou les saisir dans les plats, on ne la porte pas à la bouche.
C’est Henri III qui l’introduit à la Cour de France. On raconte que la fourchette plait beaucoup aux courtisants car la mode est la fraise … c’est une petite collerette que hommes et femmes portent autour du cou ! Pas facile de manger avec un tel obstacle, le manche de la fourchette permet alors de manger plus proprement avec les doigts. Au fil des années du XVII èmes siècle, on commence à s’y habituer et on lui ajoute une puis deux dents mais malheureusement pour elle, son usage n’est pas encore très répandu.
Certains de ceux qui l’utilisaient, ne sachant quoi faire de cet objet, s’en servaient comme d’un cure-dents. Il faut attendre la fin du XIX ème siècle pour que l’usage de la fourchette se généralise dans toutes les populations Européennes. Il existe d’ailleurs d’autres formes et utilisations de la fourchettes : la fourchette à poisson, à huitres, à escargos, à dessert …
La fourchette est donc née dans l’antiquité et on l’utilise encore au XXI ème siècle !
( d’après le journal Histoire et vie junior )