L'Âne et le Chien ???
Il était expérimenté, Et savait que la méfiance est mère de la sûreté.
Par des voeux importuns nous fatiguons les dieux, souvent pour des sujets même indignes des hommes.
Apprenez que tout flatteur vit aux dépens que celui qui l'écoute.
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort que le travail est un trésor
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir : Si ton voisin vient à mourir, C'est sur toi que le fardeau tombe.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
A l'oeuvre on connait l'artisan
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
... tous gens sont ainsi faits : Notre condition jamais ne nous contente : La pire est toujours la présente.
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
De celui-ci contentez-vous, de peur d'en rencontrer un pire
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Chacun a son défaut où toujours il revient : Honte ni peur n'y remédie.
Les délicats sont malheureux, rien ne saurait les satisfaire
Amour, Amour, quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence.
Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.
Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature
La dispute est d'un grand secours ; Sans elle on dormirait toujours.
L'Âne et ses maîtres ???
Il était expérimenté, Et savait que la méfiance est mère de la sûreté.
Par des voeux importuns nous fatiguons les dieux, souvent pour des sujets même indignes des hommes.
Apprenez que tout flatteur vit aux dépens que celui qui l'écoute.
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort que le travail est un trésor
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir : Si ton voisin vient à mourir, C'est sur toi que le fardeau tombe.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
A l'oeuvre on connait l'artisan
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
... tous gens sont ainsi faits : Notre condition jamais ne nous contente : La pire est toujours la présente.
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
De celui-ci contentez-vous, de peur d'en rencontrer un pire
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Chacun a son défaut où toujours il revient : Honte ni peur n'y remédie.
Les délicats sont malheureux, rien ne saurait les satisfaire
Amour, Amour, quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence.
Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.
Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature
La dispute est d'un grand secours ; Sans elle on dormirait toujours.
Le Chartier embourbé ???
Il était expérimenté, Et savait que la méfiance est mère de la sûreté.
Par des voeux importuns nous fatiguons les dieux, souvent pour des sujets même indignes des hommes.
Apprenez que tout flatteur vit aux dépens que celui qui l'écoute.
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort que le travail est un trésor
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir : Si ton voisin vient à mourir, C'est sur toi que le fardeau tombe.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
A l'oeuvre on connait l'artisan
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
... tous gens sont ainsi faits : Notre condition jamais ne nous contente : La pire est toujours la présente.
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
De celui-ci contentez-vous, de peur d'en rencontrer un pire
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Chacun a son défaut où toujours il revient : Honte ni peur n'y remédie.
Les délicats sont malheureux, rien ne saurait les satisfaire
Amour, Amour, quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence.
Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.
Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature
La dispute est d'un grand secours ; Sans elle on dormirait toujours.
Le Chat et le Renard ???
Il était expérimenté, Et savait que la méfiance est mère de la sûreté.
Par des voeux importuns nous fatiguons les dieux, souvent pour des sujets même indignes des hommes.
Apprenez que tout flatteur vit aux dépens que celui qui l'écoute.
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort que le travail est un trésor
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir : Si ton voisin vient à mourir, C'est sur toi que le fardeau tombe.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
A l'oeuvre on connait l'artisan
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
... tous gens sont ainsi faits : Notre condition jamais ne nous contente : La pire est toujours la présente.
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
De celui-ci contentez-vous, de peur d'en rencontrer un pire
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Chacun a son défaut où toujours il revient : Honte ni peur n'y remédie.
Les délicats sont malheureux, rien ne saurait les satisfaire
Amour, Amour, quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence.
Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.
Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature
La dispute est d'un grand secours ; Sans elle on dormirait toujours.
Le Chat et un vieux rat ???
Il était expérimenté, Et savait que la méfiance est mère de la sûreté.
Par des voeux importuns nous fatiguons les dieux, souvent pour des sujets même indignes des hommes.
Apprenez que tout flatteur vit aux dépens que celui qui l'écoute.
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort que le travail est un trésor
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir : Si ton voisin vient à mourir, C'est sur toi que le fardeau tombe.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
A l'oeuvre on connait l'artisan
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
... tous gens sont ainsi faits : Notre condition jamais ne nous contente : La pire est toujours la présente.
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
De celui-ci contentez-vous, de peur d'en rencontrer un pire
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Chacun a son défaut où toujours il revient : Honte ni peur n'y remédie.
Les délicats sont malheureux, rien ne saurait les satisfaire
Amour, Amour, quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence.
Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.
Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature
La dispute est d'un grand secours ; Sans elle on dormirait toujours.
Le Cheval et l'Âne ???
Il était expérimenté, Et savait que la méfiance est mère de la sûreté.
Par des voeux importuns nous fatiguons les dieux, souvent pour des sujets même indignes des hommes.
Apprenez que tout flatteur vit aux dépens que celui qui l'écoute.
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort que le travail est un trésor
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir : Si ton voisin vient à mourir, C'est sur toi que le fardeau tombe.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
A l'oeuvre on connait l'artisan
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
... tous gens sont ainsi faits : Notre condition jamais ne nous contente : La pire est toujours la présente.
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
De celui-ci contentez-vous, de peur d'en rencontrer un pire
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Chacun a son défaut où toujours il revient : Honte ni peur n'y remédie.
Les délicats sont malheureux, rien ne saurait les satisfaire
Amour, Amour, quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence.
Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.
Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature
La dispute est d'un grand secours ; Sans elle on dormirait toujours.
Le Cheval et le Loup ???
Il était expérimenté, Et savait que la méfiance est mère de la sûreté.
Par des voeux importuns nous fatiguons les dieux, souvent pour des sujets même indignes des hommes.
Apprenez que tout flatteur vit aux dépens que celui qui l'écoute.
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort que le travail est un trésor
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir : Si ton voisin vient à mourir, C'est sur toi que le fardeau tombe.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
A l'oeuvre on connait l'artisan
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
... tous gens sont ainsi faits : Notre condition jamais ne nous contente : La pire est toujours la présente.
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
De celui-ci contentez-vous, de peur d'en rencontrer un pire
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Chacun a son défaut où toujours il revient : Honte ni peur n'y remédie.
Les délicats sont malheureux, rien ne saurait les satisfaire
Amour, Amour, quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence.
Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.
Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature
La dispute est d'un grand secours ; Sans elle on dormirait toujours.
La Cigale et la fourmi ???
Il était expérimenté, Et savait que la méfiance est mère de la sûreté.
Par des voeux importuns nous fatiguons les dieux, souvent pour des sujets même indignes des hommes.
Apprenez que tout flatteur vit aux dépens que celui qui l'écoute.
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort que le travail est un trésor
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir : Si ton voisin vient à mourir, C'est sur toi que le fardeau tombe.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
A l'oeuvre on connait l'artisan
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
... tous gens sont ainsi faits : Notre condition jamais ne nous contente : La pire est toujours la présente.
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
De celui-ci contentez-vous, de peur d'en rencontrer un pire
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Chacun a son défaut où toujours il revient : Honte ni peur n'y remédie.
Les délicats sont malheureux, rien ne saurait les satisfaire
Amour, Amour, quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence.
Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.
Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature
La dispute est d'un grand secours ; Sans elle on dormirait toujours.
La Colombe et la fourmi ???
Il était expérimenté, Et savait que la méfiance est mère de la sûreté.
Par des voeux importuns nous fatiguons les dieux, souvent pour des sujets même indignes des hommes.
Apprenez que tout flatteur vit aux dépens que celui qui l'écoute.
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort que le travail est un trésor
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir : Si ton voisin vient à mourir, C'est sur toi que le fardeau tombe.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
A l'oeuvre on connait l'artisan
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
... tous gens sont ainsi faits : Notre condition jamais ne nous contente : La pire est toujours la présente.
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
De celui-ci contentez-vous, de peur d'en rencontrer un pire
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Chacun a son défaut où toujours il revient : Honte ni peur n'y remédie.
Les délicats sont malheureux, rien ne saurait les satisfaire
Amour, Amour, quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence.
Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.
Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature
La dispute est d'un grand secours ; Sans elle on dormirait toujours.
Contre ceux qui ont le goût difficile ???
Il était expérimenté, Et savait que la méfiance est mère de la sûreté.
Par des voeux importuns nous fatiguons les dieux, souvent pour des sujets même indignes des hommes.
Apprenez que tout flatteur vit aux dépens que celui qui l'écoute.
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort que le travail est un trésor
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir : Si ton voisin vient à mourir, C'est sur toi que le fardeau tombe.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
A l'oeuvre on connait l'artisan
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
... tous gens sont ainsi faits : Notre condition jamais ne nous contente : La pire est toujours la présente.
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
De celui-ci contentez-vous, de peur d'en rencontrer un pire
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Chacun a son défaut où toujours il revient : Honte ni peur n'y remédie.
Les délicats sont malheureux, rien ne saurait les satisfaire
Amour, Amour, quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence.
Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.
Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature
La dispute est d'un grand secours ; Sans elle on dormirait toujours.
Le Coq et le Renard ???
Il était expérimenté, Et savait que la méfiance est mère de la sûreté.
Par des voeux importuns nous fatiguons les dieux, souvent pour des sujets même indignes des hommes.
Apprenez que tout flatteur vit aux dépens que celui qui l'écoute.
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort que le travail est un trésor
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir : Si ton voisin vient à mourir, C'est sur toi que le fardeau tombe.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
A l'oeuvre on connait l'artisan
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
... tous gens sont ainsi faits : Notre condition jamais ne nous contente : La pire est toujours la présente.
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
De celui-ci contentez-vous, de peur d'en rencontrer un pire
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Chacun a son défaut où toujours il revient : Honte ni peur n'y remédie.
Les délicats sont malheureux, rien ne saurait les satisfaire
Amour, Amour, quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence.
Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.
Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature
La dispute est d'un grand secours ; Sans elle on dormirait toujours.
Le Corbeau et le Renard ???
Il était expérimenté, Et savait que la méfiance est mère de la sûreté.
Par des voeux importuns nous fatiguons les dieux, souvent pour des sujets même indignes des hommes.
Apprenez que tout flatteur vit aux dépens que celui qui l'écoute.
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort que le travail est un trésor
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir : Si ton voisin vient à mourir, C'est sur toi que le fardeau tombe.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
A l'oeuvre on connait l'artisan
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
... tous gens sont ainsi faits : Notre condition jamais ne nous contente : La pire est toujours la présente.
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
De celui-ci contentez-vous, de peur d'en rencontrer un pire
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Chacun a son défaut où toujours il revient : Honte ni peur n'y remédie.
Les délicats sont malheureux, rien ne saurait les satisfaire
Amour, Amour, quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence.
Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.
Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature
La dispute est d'un grand secours ; Sans elle on dormirait toujours.
Les frelons et les mouches à miel ???
Il était expérimenté, Et savait que la méfiance est mère de la sûreté.
Par des voeux importuns nous fatiguons les dieux, souvent pour des sujets même indignes des hommes.
Apprenez que tout flatteur vit aux dépens que celui qui l'écoute.
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort que le travail est un trésor
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir : Si ton voisin vient à mourir, C'est sur toi que le fardeau tombe.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
A l'oeuvre on connait l'artisan
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
... tous gens sont ainsi faits : Notre condition jamais ne nous contente : La pire est toujours la présente.
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
De celui-ci contentez-vous, de peur d'en rencontrer un pire
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Chacun a son défaut où toujours il revient : Honte ni peur n'y remédie.
Les délicats sont malheureux, rien ne saurait les satisfaire
Amour, Amour, quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence.
Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.
Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature
La dispute est d'un grand secours ; Sans elle on dormirait toujours.
Les Grenouilles qui demandent un roi. ???
Il était expérimenté, Et savait que la méfiance est mère de la sûreté.
Par des voeux importuns nous fatiguons les dieux, souvent pour des sujets même indignes des hommes.
Apprenez que tout flatteur vit aux dépens que celui qui l'écoute.
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort que le travail est un trésor
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir : Si ton voisin vient à mourir, C'est sur toi que le fardeau tombe.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
A l'oeuvre on connait l'artisan
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
... tous gens sont ainsi faits : Notre condition jamais ne nous contente : La pire est toujours la présente.
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
De celui-ci contentez-vous, de peur d'en rencontrer un pire
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Chacun a son défaut où toujours il revient : Honte ni peur n'y remédie.
Les délicats sont malheureux, rien ne saurait les satisfaire
Amour, Amour, quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence.
Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.
Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature
La dispute est d'un grand secours ; Sans elle on dormirait toujours.
L'Homme et la Puce. ???
Il était expérimenté, Et savait que la méfiance est mère de la sûreté.
Par des voeux importuns nous fatiguons les dieux, souvent pour des sujets même indignes des hommes.
Apprenez que tout flatteur vit aux dépens que celui qui l'écoute.
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort que le travail est un trésor
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir : Si ton voisin vient à mourir, C'est sur toi que le fardeau tombe.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
A l'oeuvre on connait l'artisan
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
... tous gens sont ainsi faits : Notre condition jamais ne nous contente : La pire est toujours la présente.
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
De celui-ci contentez-vous, de peur d'en rencontrer un pire
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Chacun a son défaut où toujours il revient : Honte ni peur n'y remédie.
Les délicats sont malheureux, rien ne saurait les satisfaire
Amour, Amour, quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence.
Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.
Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature
La dispute est d'un grand secours ; Sans elle on dormirait toujours.
L'ivrogne et sa femme ???
Il était expérimenté, Et savait que la méfiance est mère de la sûreté.
Par des voeux importuns nous fatiguons les dieux, souvent pour des sujets même indignes des hommes.
Apprenez que tout flatteur vit aux dépens que celui qui l'écoute.
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort que le travail est un trésor
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir : Si ton voisin vient à mourir, C'est sur toi que le fardeau tombe.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
A l'oeuvre on connait l'artisan
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
... tous gens sont ainsi faits : Notre condition jamais ne nous contente : La pire est toujours la présente.
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
De celui-ci contentez-vous, de peur d'en rencontrer un pire
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Chacun a son défaut où toujours il revient : Honte ni peur n'y remédie.
Les délicats sont malheureux, rien ne saurait les satisfaire
Amour, Amour, quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence.
Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.
Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature
La dispute est d'un grand secours ; Sans elle on dormirait toujours.
Le Laboureur et ses enfants ???
Il était expérimenté, Et savait que la méfiance est mère de la sûreté.
Par des voeux importuns nous fatiguons les dieux, souvent pour des sujets même indignes des hommes.
Apprenez que tout flatteur vit aux dépens que celui qui l'écoute.
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort que le travail est un trésor
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir : Si ton voisin vient à mourir, C'est sur toi que le fardeau tombe.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
A l'oeuvre on connait l'artisan
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
... tous gens sont ainsi faits : Notre condition jamais ne nous contente : La pire est toujours la présente.
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
De celui-ci contentez-vous, de peur d'en rencontrer un pire
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Chacun a son défaut où toujours il revient : Honte ni peur n'y remédie.
Les délicats sont malheureux, rien ne saurait les satisfaire
Amour, Amour, quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence.
Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.
Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature
La dispute est d'un grand secours ; Sans elle on dormirait toujours.
Le Lièvre et la Tortue. ???
Il était expérimenté, Et savait que la méfiance est mère de la sûreté.
Par des voeux importuns nous fatiguons les dieux, souvent pour des sujets même indignes des hommes.
Apprenez que tout flatteur vit aux dépens que celui qui l'écoute.
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort que le travail est un trésor
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir : Si ton voisin vient à mourir, C'est sur toi que le fardeau tombe.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
A l'oeuvre on connait l'artisan
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
... tous gens sont ainsi faits : Notre condition jamais ne nous contente : La pire est toujours la présente.
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
De celui-ci contentez-vous, de peur d'en rencontrer un pire
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Chacun a son défaut où toujours il revient : Honte ni peur n'y remédie.
Les délicats sont malheureux, rien ne saurait les satisfaire
Amour, Amour, quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence.
Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.
Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature
La dispute est d'un grand secours ; Sans elle on dormirait toujours.
Le Lion amoureux ???
Il était expérimenté, Et savait que la méfiance est mère de la sûreté.
Par des voeux importuns nous fatiguons les dieux, souvent pour des sujets même indignes des hommes.
Apprenez que tout flatteur vit aux dépens que celui qui l'écoute.
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort que le travail est un trésor
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir : Si ton voisin vient à mourir, C'est sur toi que le fardeau tombe.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
A l'oeuvre on connait l'artisan
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
... tous gens sont ainsi faits : Notre condition jamais ne nous contente : La pire est toujours la présente.
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
De celui-ci contentez-vous, de peur d'en rencontrer un pire
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Chacun a son défaut où toujours il revient : Honte ni peur n'y remédie.
Les délicats sont malheureux, rien ne saurait les satisfaire
Amour, Amour, quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence.
Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.
Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature
La dispute est d'un grand secours ; Sans elle on dormirait toujours.
Le Lion et le Rat ???
Il était expérimenté, Et savait que la méfiance est mère de la sûreté.
Par des voeux importuns nous fatiguons les dieux, souvent pour des sujets même indignes des hommes.
Apprenez que tout flatteur vit aux dépens que celui qui l'écoute.
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort que le travail est un trésor
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir : Si ton voisin vient à mourir, C'est sur toi que le fardeau tombe.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
A l'oeuvre on connait l'artisan
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
... tous gens sont ainsi faits : Notre condition jamais ne nous contente : La pire est toujours la présente.
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
De celui-ci contentez-vous, de peur d'en rencontrer un pire
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Chacun a son défaut où toujours il revient : Honte ni peur n'y remédie.
Les délicats sont malheureux, rien ne saurait les satisfaire
Amour, Amour, quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence.
Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.
Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature
La dispute est d'un grand secours ; Sans elle on dormirait toujours.
Le Loup et l'Agneau ???
Il était expérimenté, Et savait que la méfiance est mère de la sûreté.
Par des voeux importuns nous fatiguons les dieux, souvent pour des sujets même indignes des hommes.
Apprenez que tout flatteur vit aux dépens que celui qui l'écoute.
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort que le travail est un trésor
En ce monde il se faut l'un l'autre secourir : Si ton voisin vient à mourir, C'est sur toi que le fardeau tombe.
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
A l'oeuvre on connait l'artisan
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
... tous gens sont ainsi faits : Notre condition jamais ne nous contente : La pire est toujours la présente.
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
De celui-ci contentez-vous, de peur d'en rencontrer un pire
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Chacun a son défaut où toujours il revient : Honte ni peur n'y remédie.
Les délicats sont malheureux, rien ne saurait les satisfaire
Amour, Amour, quand tu nous tiens, On peut bien dire : Adieu prudence.
Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.
Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature
La dispute est d'un grand secours ; Sans elle on dormirait toujours.